À ce jour, la technologie la plus populaire au monde est le contenu à froid ou la technologie canadienne. L’essence de la technologie réside dans la culture de porcs sur litière de paille. La litière doit être épaisse avec une bonne paille avec le contenu nécessaire de nourriture sèche et d’eau potable propre. La litière peut être fabriquée à partir de matière organique, à partir de sciure de bois ou de paille.
La couche inférieure est recommandée pour faire une épaisseur d’environ vingt centimètres. Par le degré de mouillage de la première couche, il devrait être saupoudré de paille sèche. En raison du processus de putréfaction de la première couche, de l’énergie thermique est générée. À cet égard, les coûts de chauffage des bâtiments d’élevage sont considérablement réduits. Il convient de noter que pour l’entretien d’un animal, vous devez dépenser environ un kilogramme de paille sèche.
Il sera rationnel d’appliquer le mode de culture canadien dans les régions où les températures ne glissent pas en dessous de moins dix degrés en hiver. Mais le climat plus chaud n’est pas prédisposé à un tel type de contenu. Ceci est dû au fait que dans la chaleur, la paille sera humide, et dans la paille humide, des micro-organismes se développeront. Et, par conséquent, les animaux tombent souvent malades.
Le système canadien de culture est très rentable en termes de coûts monétaires. Les animaux sur ce système devraient être dans un grand hangar, dans lequel il n’y a pas de partitions. Par exemple, comme dans les porcheries ordinaires. Cela contribue à la possibilité d’augmenter la population du troupeau.
Imaginez seulement que le hangar, prévu dans la technologie canadienne, puisse accueillir dans ses espaces ouverts soixante-dix pour cent plus d’animaux qu’une porcherie conventionnelle avec cloisons. Ce sera une bonne économie d’éclairage, compte tenu du fait que le toit sera fait d’un matériau qui laissera passer la lumière.
De plus, tout le reste, les animaux existeront dans des conditions de détention plus commodes. Une pièce spacieuse contribue à un mouvement plus actif, par conséquent, pour renforcer l’immunité, un gain quotidien allant jusqu’à un demi-kilogramme. Un avantage important de la méthode présentée est la construction rapide de tels hangars et la récupération rapide de cette idée. Cette méthode est très appropriée pour la croissance des animaux dans les petites fermes et fermes.
Suivant la technologie canadienne, les fermes porcines doivent être équipées de chauffe-eau. Et il devrait également y avoir des mangeoires de soute avec des aliments combinés, de sorte que les animaux aient un accès libre et constant à l’eau potable et au fourrage. Par conséquent, le système présenté est parfait pour garder les animaux à l’engraissement.
Cependant, les Canadiens eux-mêmes n’utilisent pas si souvent leur façon développée. Et tout le blâme est une paille coûteuse. Par exemple, pour l’entretien d’un millier et demi de têtes, il faudra acheter de la paille pour quarante mille dollars américains. Et en plus, le transport de la paille coûtera une somme ronde. Un autre facteur négatif pour les habitants du Canada est l’odeur désagréable de la paille humide et l’humidité constante dans le hangar.
Pour beaucoup de petites fermes et de terres agricoles, la technologie de stockage à froid est extrêmement pratique, rentable et confortable. Très attire les agriculteurs le fait que le montant investi de l’épargne financière dans un temps assez court porte ses fruits. Il convient de noter que cette méthode nécessite de sevrer les porcelets de l’utérus à l’âge de deux semaines. Et dès que possible de les traduire complètement en alimentation avec du fourrage de qualité. Cela contribue à augmenter le nombre de moines chaque année, c’est-à-dire augmenter la productivité et le nombre de troupeaux.
La technologie canadienne de croissance des porcelets